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PURE ALOE VERA

COMPOSITION ANALYTIQUE

L'analyse chimique de la feuille d'Aloe vera commence après 1850 avec l'isolement du principal principe actif de sa sève qui fut dénommé aloïne, substance à l'origine de ses propriétés digestives (stomachique, cholagogue et laxative) qui étaient les seules officiellement reconnues par la médecine occidentale de l'époque. Ce n'est que beaucoup plus tard, après 1930, que de nouvelles recherches analytiques tentent de trouver les autres principes actifs susceptibles d'expliquer ses nombreuses autres vertus en rapport avec le gel de sa pulpe fraîche. Sa composition se complète alors progressivement au fil des années avec l'évolution des moyens techniques d'analyse, de plus en plus performants, dont disposent les chercheurs.

En fait, la reconnaissance scientifique de l'Aloe Vera a suivi le bombardement d'Hiroshima puisque les irradiés, soignés avec l'aloès en interne et en externe, ont mieux supporté les conséquences de l'irradiation que les statistiques médicales les plus optimistes ne l'avaient prévu. C'est ce que Bill Coats a remarqué au Mexique, pays qu'il a visité après avoir fait partie d'une mission de soins aux Japonais irradiés par les bombes d'Hiroshima. Lors de sa mission, il avait pu constater les excellents résultats des cataplasmes d'aloès des Mexicains, également en mission. Sur place, il a observé qu'à niveau de vie identique, les habitants des campagnes vivaient mieux que ceux des villes puisqu'ils utilisaient l'aloès au quotidien pour se soigner comme pour compléter leur ration alimentaire.

C'est ainsi qu'actuellement, sans pouvoir dire que l'on ne trouvera pas encore de nouvelles substances actives, on peut considérer que la composition de la feuille d'Aloe vera est pratiquement connue en totalité pour ce qui est de ses composants actifs les plus essentiels. Si nous devions donner à ce moment du livre une définition de l'Aloe Vera, nous pourrions en dire qu'il est un composant végétal multifonctionnel d'une très grande qualité et, avec plus de 200 éléments naturellement présents, elle est assurément le meilleur complément alimentaire au monde. L'action de ses principes actifs et la synergie de l'ensemble de ses éléments en font une plante aux propriétés remarquables. Poussant dans le sable, elle est riche en silicium et contient également des oligo-éléments rares.

Un complément alimentaire est un produit naturel très riche en nutriments et principes actifs majeurs, absolument indispensables au bon fonctionnement de notre « usine biologique » et au bon rétablissement de ses différentes fonctions. Un complément alimentaire sert de « carburant » ; l’aloès, avec ses 200 éléments dont 85 nutriments qu’on ne trouve pas dans la ration alimentaire quotidienne, est un des meilleurs compléments alimentaires de notre époque.

Les compléments alimentaires diminuent toutes les dépendances.

Un complément alimentaire n’est pas pour autant un médicament, il ne vise en aucun cas à remplacer un traitement médical, même s’il peut aider à résoudre de nombreux problèmes de santé.

Comparativement, la Mer Morte ne contient que 130 nutriments, et le liquide amniotique 92 ! Puisque l’Aloe Vera est composée à 99 % d’eau, tous ces produits chimiques sont répartis dans la plante dans le pourcent restant. Bien que ceci semble être un faible pourcentage pour contenir tant d’ingrédients, leurs vertus sont prouvées. Le Docteur Atherton affirme que ceci est dû aux actions synergétiques. Il écrit que « le synergisme se définit comme le travail commun de deux médicaments ou plus, des muscles, etc…qui produit un effet plus intense que la somme des effets pris individuellement ». Compte tenu de la variabilité de certains pourcentages quantitatifs tributaires de la variété d'Aloe vera, de lanature du sol, des conditions météorologiques, des méthodes d'extraction, etc., je me contenterai de vousdonner ici la seule composition qualitative telle qu'elle ressort des derniers travaux réalisés en la matière.

L'Aloe Vera Barbadensis  Miller est l'antioxydant le plus complet présent naturellement sur la planète.

La feuille fraîche de l'Aloe vera contient essentiellement :

o Des dérivés anthracéniques (spécifiques de la sève), barbaloïne (nom maintenant adopté par la plupart des Pharmacopées en remplacement d'aloïne), aloe-émodol ou aloe-émodine, isobarbaloïne, aloïnosides et hydroxy-aloïnes.

o Des mono et polysaccharides : cellulose, glucose, mannose, aldonentose et L-rhamnose. L'aloès contient en effet des polysaccharides (dont l'acemanan) qui ont un effet antimycosique ; ils aident également à lutter contre le cholestérol, ils régulent le glucose, d'où son action puissante en cas de diabète. Les polysaccharides ont également un rôle anti-inflammatoire et un effet anti-oedémateux, puisqu'ils retiennent l'eau. Les polysaccharides (acémannan, glucomannan) sont l’un des composants les plus intéressants de l'Aloe Vera car la plus grande partie de ses propriétés bienfaisantes en sont issues. L'acemannan a des propriétés immunostimulantes, il est capable d’augmenter de dix fois l’activité des macrophages (phagocytes) qui détruisent les toxines et les tumeurs.

Parlons maintenant, si vous le permettez, de l'acemannan, produit actif par excellence. L’acemannan se dépose directement sur les parois des cellules et renforce ces dernières contre les assauts des virus, bactéries et champignons. Le pathologiste américain Dr. Mc Daniels a pu constater cet effet quelques jours après l'absorption d’aloe vera. De plus, les globules blancs sont renforcés de façon à pouvoir intercepter les virus les plus agressifs et les empêcher de nuire.

L'acemannan transcende toutes nos cellules, élève leurs fréquences vibratoires et les active. Il améliore en grande partie l'oxygénation de la cellule ; il s’ensuit une stimulation de l'ensemble du métabolisme et une amélioration de toutes les fonctions purificatrices, augmentant ainsi l'énergie et le tonus de l'organisme. C'est grâce à l'acemannan que l’aloe vera élimine tous les poisons chimiques et déchets qui nous agressent journellement par voie intestinale. C'est ainsi que l'intestin est nettoyé et tous les oligo-éléments et vitamines apportés peuvent être assimilés de façon optimale par les parois de l'intestin. Si lors d'une candidose des toxines sont produites, l'acemannan est en mesure d'attirer ces substances nocives et de les éliminer. En outre, par la prise régulière d’aloe vera gel, le milieu acide des intestins devient basique, privant ainsi le champignon du milieu vital. Par le fait d'emmagasiner l'acemannan dans les cellules, la moelle osseuse est protégée des toxines qui l'agressent. Il revitalise tendons, articulations, cartilages, ligaments et veille à la production de synovie. L'acémannan prévient l'arthrose et l'arthrite, il tient de ce fait un rôle prépondérant dans le domaine des maladies rhumatismales.

En l'occurrence chez les malades atteints du SIDA, qui ont un système immunitaire déficient, des études universitaires américaines ont obtenu des résultats plus que concluants lors de la prise d’aloe vera. D'après les médecins, ce phénomène serait dû à l'acemannan dont l'effet synergique des mucopolysaccharides influence positivement tout le système immunitaire. Il a été également démontré par des tests cliniques que le virus responsable de l'herpès et de la grippe est éliminé en l'espace de 15 minutes par l'ajout d’aloe vera. Lorsque l'on soigne les tumeurs cancérigènes des chiens et des chats avec du gel d’aloe vera, l'on constate une nette diminution du volume des tumeurs. Des chats souffrant de leucémie ont été traités au gel d’aloe vera. Après 12 semaines, 71 % des animaux jouissaient d'une santé parfaite.

Il a été démontré dans plusieurs études scientifiques que l’aloe vera est capable d'augmenter la résistance du système immunitaire et d'agir de façon régulatrice dans toutes les fonctions du corps.

Mais sont présents également des mucopolysaccharides : sécrétés par les fibroblastes, ils sont constitués d’un certain nombre de molécules de sucre rattachées à un radical aminé et à un radical soufré. Ces substances entrent dans la constitution des fibres conjonctives et élastiques, et sont la base de la substance fondamentale. Selon le nombre de molécules de sucre et les radicaux aminés ou soufrés, la structure de la substance élaborée sera différente ; fibreuse dans un tendon, transparente dans la cornée, gélatineuse dans la synovie, intermédiaire dans le derme. Les mucopolysaccharides jouent un rôle capital mais tout à fait méconnu dans les échanges. Très avides d’eau, ils assurent la tonicité et la trophicité du derme.

o Des AMINOACIDES ou ACIDES AMINES : acide glutamique, acide aspartique, alanine, arginine, cystine, glycine ou glycocolle, histidine, isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, proline, sérine, thréonine, tyrosine et valine. « Les acides aminés se transforment en protéines, fournissent de l’énergie et agissent comme des catalyseurs, notamment dans l’hydrolyse ( = décomposition chimique d’un corps sous l’action de l’eau, dont ils fixent les éléments en se dédoublant) ». S’il en manque, l’assimilation ne se fait qu’à 50% ; il faudrait consommer beaucoup plus de nourriture pour avoir une assimilation valable. Cette consommation supplémentaire créerait des déchets dans l’organisme.

Il est important de noter que cette longue liste d'aminoacides comporte 7 des 8 acides aminés indispensables à la vie que notre organisme ne peut pas synthétiser et qu'il lui faut donc trouver journellement dans l'alimentation (le 8ème : le tryptophane, qui se trouve dans le soja « travaillé », c’est-à-dire tofu, shoyou et les graines de soja germées, les amandes, le poisson, les lentilles, le poulet et la dinde – peu cuits – ,les produits laitiers, essentiellement dans le petit lait.). Cette richesse en acides aminés essentiels confère à l'AIoe vera un atout diététique, entre autres, dont l'intérêt est tout à fait évident.Les acides aminés sont des protéines qui fournissent de l'énergie, agissent comme catalyseurs, régularisent l'équilibre chimique, interviennent dans la régénération des tissus. L'aloès contient 18 de 22 acides aminés présents dans le corps humain, dont 7 des 8 acides aminés essentiels (c'est-à-dire ceux que notre corps ne peut fabriquer) et 11 des 14 acides aminés secondaires.

Essentiels: Isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, théonine, valine.

Secondaires: Acide aspartique, acide glutamique, alanine, arginine, cystine, glycine, hystidine, hydroxiproline, proline, sérine, tyrosine.

Les acides aminés sont au nombre de 20 : l'acide aspartique, l'acide glutamique, l'alanine, l'arginine, l'asparagine, la cystine, la glutamine, la glycine, l'histidine, l'isoleucine, la leucine, la lysine, la méthionine, la phénylalanine, la proline, la sérine, la thréonine, la tyrosine, le tryptophane et la valine.

Toute protéine est constituée d'un assemblage - défini par nos gènes - d'acides aminés. On peut dire, de façon imagée que chaque acide aminé correspond à une “lettre” qui sert à écrire d'innombrables “mots” différents que sont les protéines utilisées par l'organisme. Il faut savoir également que certains acides aminés circulent de façon libre dans l'organisme. C'est donc, en définitive, à partir des acides aminés que l'organisme édifie les diverses protéines présentes dans toutes les cellules et tissus de notre corps qui dépendent d'elles pour leur entretien et leur régénération et dont elles constituent 20% de sa masse totale avec des rôles fondamentaux pour assurer son bon équilibre biologique : • rôle plastique avec la croissance et l'élaboration des tissus osseux, cutané, musculaire, des membranes cellulaires, l'entretien et le renouvellement de nos tissus… ; • constituants des hormones, des enzymes, des neurotransmetteurs, d'anticorps, etc. ; • rôle dans le transport de l'oxygène avec l'hémoglobine qui est une protéine spécialisée ; sans oublier également leur apport énergétique avec une valeur calorique de 4 kcal par gramme de protéines qui constituent normalement environ 10% à 15% de l'apport énergétique journalier.

Les acides aminés sont de deux types :

— Les acides aminés non essentiels qui peuvent être synthétisés par l'organisme à partir de lipides ou de glucides présents dans le corps et dont voici la liste par ordre alphabétique : acide aspartique, acide glutamique, alanine, arginine, asparagine, cystine, glutamine, histidine, proline, sérine et tyrosine. L'organisme peut s'approvisionner en ces acides aminés soit par l'alimentation, soit en les synthétisant lui-même à partir d'autres acides aminés, de lipides (graisses), de glucides (hydrates de carbone) ou de vitamines. Il faut savoir encore que trois de ces acides aminés non essentiels peuvent le devenir dans certaines conditions particulières. C'est ainsi, par exemple, que chez le nouveau-né l'histidine et l'arginine sont essentielles, que chez le bébé l'histidine reste encore essentielle, que chez les traumatisés, les opérés qui relèvent d'une chirurgie lourde, les grabataires la glutamine devient essentielle.

— Les acides aminés essentiels - ou indispensables - qui ne peuvent pas être synthétisés par l'organisme et qui doivent être impérativement apportés journellement par l'alimentation. Ils sont au nombre de 8 dont voici la liste (toujours par ordre alphabétique) : l'isoleucine, la leucine, la lysine, la méthionine, la phénylalanine, la thréonine, le tryptophane et la valine. La carence d'un seul d'entre eux - et a fortiori plusieurs - empêche l'organisme d'utiliser les autres éléments protéiques qui auraient dû lui être associés entraînant, par là même, des déséquilibres et des désordres biologiques générateurs de diverses pathologies.

C'est par la combinaison précise des différents acides aminés que l'organisme fabrique les différentes protéines indispensables à la régénération cellulaire et à de nombreux processus biologiques, mais il a besoin pour cela qu'ils soient tous disponibles au moment de la synthèse de ces protéines. Lorsque certains acides aminés nécessaires à la synthèse d'une protéine sont manquants, la protéine ne peut pas être synthétisée et comme il n'y a pas de lieu de stockage où puiser ceux qu'il faudrait - comme cela existe pour les autres nutriments qui sont entreposés pour usage ultérieur - il y a carence de fabrication. D'où la nécessité d'ingérer quotidiennement des protéines alimentaires contenant tous les acides aminés indispensables, ce qui est possible en combinant des sources protéiques variées et non carencées.

Notre organisme, contrairement aux glucides et aux lipides, ne peut pas stocker les acides aminés dont il a un besoin permanent pour satisfaire à ses nécessités biologiques, il désintègre et reconstruit en permanence les protéines que nous ingérons selon un processus ininterrompu qui implique un apport constant fourni en majeure partie par l'alimentation et aussi en recyclant certains acides aminés déjà utilisés. C'est donc essentiellement l'alimentation qui va pouvoir satisfaire les besoins de notre corps avec un apport à la fois quantitatif minimum mais aussi - et surtout - qualitatif assurant l'apport de tous les acides aminés indispensables, d'où la nécessité d'un régime alimentaire journalier très varié pour être sûr de les fournir tous quotidiennement à l'organisme et d'éviter ainsi toute carence.

Afin de satisfaire globalement les besoins du corps en protides - et en acides aminés qui les constituent - il faut lui en apporter en moyenne 1 g par kg de poids et par jour pour un adulte ayant une activité normale (soit environ 75 g pour un homme de 75 kg), mais certains métiers physiquement exigeants, la pratique de sports intenses, etc., peuvent augmenter largement ce chiffre.

L'origine alimentaire des protéines est :

• végétale avec principalement les céréales (blé, froment), les féculents (pâtes, riz, lentilles, haricots), les légumes secs et le soja. • animale avec essentiellement les produits lactés, les viandes, les poissons et fruits de mer et les oeufs, en sachant que ces protéines animales contiennent tous les acides aminés essentiels avec une composition bien équilibrée, donc une meilleure valeur biologique que les protéines d'origine végétale souvent carencées d'un ou plusieurs de ces acides aminés essentiels, d'où une grande vigilance pour les adeptes de végétarisme qui doivent surveiller beaucoup plus attentivement le bon apport qualitatif en “bonnes” protéines de leur régime alimentaire pour couvrir la totalité de leurs besoins.

Une fois absorbées, ces protéines alimentaires sont désagrégées par les enzymes digestives sous forme d'acides aminés que l'organisme reconstruit selon des séquences d'enchaînement répondant à ses besoins physiologiques.

Normalement, un régime alimentaire classique varié et bien équilibré couvre largement nos besoins en protéines et acides aminés essentiels mais - et c'est là où le bât blesse - c'est que : • d'une part,de plus en plus de personnes ne s'alimentent plus de façon correcte, • et que d'autre part, même celles qui le font n'absorbent pas toujours les aliments susceptibles de leur apporter, ceux-ci étant souvent carencés à l'heure actuelle.

o Des éléments MINERAUX : calcium, chlore, cuivre, chrome, fer, lithium, magnésium, manganèse, phosphore, potassium, sodium, zinc, pour ne citer que les plus importants. Eléments qui jouent tous, même à doses infinitésimales (oligo-éléments), un rôle capital au niveau de nombreuses réactions biochimiques qui

régissent le métabolisme cellulaire en général. Chacun a un rôle capital, souvent indispensable, même à dose infinitésimale (oligo-éléments) dans de nombreuses réactions biochimiques, éléments participant au bon fonctionnement du métabolisme cellulaire de tout l’organisme et dont la carence est à l’origine multiples troubles maladifs. Oligo-éléments rares qui ne se trouvent pas ailleurs.

Nous trouverons des traces de potassium dans l’aloès : celui-ci s’élimine facilement ; nous sommes plutôt en carence de potassium et en excès de sodium. La déficience en potassium peut être une urgence majeure et entraîner un arrêt cardiaque.

« Beaucoup de problèmes de santé proviennent de carences en éléments dont le corps n’ a besoin qu’en quantité infime. L’oligothérapie à la française, lancée par le Docteur Ménétrier, a bien montré que le simple fait de fournir des « traces » d’oligo-éléments à l’organisme suffit généralement à déclencher une activité enzymatique. Ainsi, l’oligothérapie peut soigner même des désordres graves comme l’arthrite… L’efficacité polyvalente de l’aloès naît de la synergie de tous ses éléments, car l’association de plusieurs éléments crée un effet global plus puissant que ces mêmes éléments pris séparément. »

Calcium : -18,6 mg par litre de Pulpe - Croissance osseuse en association avec le phosphore.

Phosphore : Croissance osseuse en association avec le calcium.

Potassium : (sorbat et carbonate de potassium) – 31,4 mg par litre de Pulpe - Le potassium est utilisé comme modificateur du terrain dans certaines manifestations musculaires fonctionnelles et dans le traitement des crampes.

Fer – 44 mg par litre de Pulpe - Favorise l'hémoglobine et la fixation de l'oxygène.

Sodium – 12,7 mg par litre de Pulpe - Maintient l'équilibre acido-basique des liquides organiques et favorise le métablolisme de l'eau au sein des tissus et des cellules.

Chlore Antiseptique et désinfectant.

Manganèse – 4,5 mg par litre de Pulpe - En association avec le magnésium, maintient le bon fonctionnement des muscles et du système nerveux.

Magnésium – 3,1 mg par litre de Pulpe - En association avec le manganèse, maintient le bon fonctionnement des muscles et du système nerveux. Le magnésium est utilisé au cours des états de dystonie neuro-végétative, ainsi que dans les états spasmophiles.

Cuivre Oligo-élément indispensable au maintien de l'équilibre de l'organisme. Le cuivre est d'une part un excellent anti-infectieux, antiviral, et anti-inflammatoire. Pris par exemple dés les premiers symptômes d'un état grippal, il jugule celui-ci en 36 à 48 heures sans aucune asthénie consécutive Il est également recommandé au cours de diverses affections rhumatismales inflammatoires.

Chrome Favorise l'activité des enzymes des acides gras.

Zinc – 1,7 mg par litre de Pulpe - Stimule l'activité des protéines dans la cicatrisation. Le zinc est un catalyseur des fonctions hypophysaires utilisé au cours d'affections cutanées. Il est exceptionnellement prescrit sous sa forme isolée mais le plus souvent dans le cadre des associations majeures mentionnées précédemment : Zinc-Cuivre ou Zinc-Nickel-Cobalt.

o Des VITAMINES : A - B1 ou thiamine - B2 ou riboflavine - B3 ou vitamine PP ou nicotinamide - B6 ou pyridoxine - B9 ou acide folique - B 12 ou cyanocobolamine - C ou acide ascorbique et E ou tocophérol. Il est utile de rappeler le rôle important joué par ces vitamines dans le développement harmonieux et le maintien en bon équilibre de l'organisme humain dans son ensemble. « Vitamine : substance indispensable en infime quantité à la croissance et au bon fonctionnement de l’organisme qui ne peut en effectuer lui-même la synthèse. » Le manque de vitamines crée des déséquilibres dans l’organisme. Les quantités constituent un appoint des plus utiles, la B6 en particulier qui présente un grand intérêt pour les végétariens ; et la niacine (vitamine B3), un régulateur. Les végétariens et les végétaliens ont souvent des problèmes de cholestérol plus importants que les non-végétariens et meurent beaucoup de cancers foie-pancréas ; l’équilibre est très difficile à trouver. Les graisses de palme, cajou et arachide sont par exemple très difficiles à digérer ; les huiles d’onagre et de bourrache bénéficient d’un effet de mode, mais ce sont des huiles fragiles, ce ne sont pas les meilleures huiles, elles contiennent des omégas 6 dont nous sommes rarement carencés, et pas d’omégas 3, omégas qui nous manquent très souvent.

A (rétinol) : se trouve dan les graines germées, les jeunes pousses, le piment rouge sec, les abricots secs, les légumes crus dont : fanes de carottes, persil, légumes verts, les fruits crus, les œufs, le foie de poisson. La vitamine A améliore la vision. Elle joue un rôle essentiel en particulier sur la vision nocturne en maintenant l'acuité visuelle ; prévention de la cataracte, amélioration des symptômes de la rétinite pigmentaire, protection contre la dégénérescence maculaire de la rétine. Favorise la santé de la peau et des muqueuses : prévient le vieillissement cutané, améliore la qualité des cheveux, des os et des dents, guérit les engelures, les crevasses, les fesses rouges du nourrisson et certaines lésions précancéreuses comme les leucoplasies buccales. Protège les cellules des radicaux libres. La vitamine A stimule le système immunitaire et augmente la résistance aux affections respiratoires.

B1 (thiamine) : Nécessaire à la croissance des tissus et à la production d'énergie. Cette vitamine est très intéressante pour son action sur le système nerveux. Au loin se profile une action possible sur l'inquiétante maladie d'Alzheimer et sur d'autres pathologies neurologiques similaires. La vitamine B1 nous permet d'utiliser les glucides (sucres) apportés par l'alimentation, véritables combustibles cellulaires. D'où son intérêt chez les sportifs. Elle permet aussi de métaboliser l'alcool, d'où les déficits graves chez l'alcoolique. Enfin, la B1 jouerait le rôle de messager chimique dans le cerveau, notamment pour la mémoire. La vitamine B1 est dépourvue de toxicité, même à dose élevée. Elle est simplement éliminée par les selles si elle est absorbée en trop grande quantité. Très bonne si vous souffrez de diabète.

B2 (riboflavine) : Action commune avec la vitamine B6 pour la formation du sang. La vitamine B2 permet de produire l'énergie nécessaire à notre organisme à partir des combustibles alimentaires : les sucres, les acides gras tirés des lipides, les acides aminés qui sont les constituants des protéines. La vitamine B2 est dépourvue de toxicité, mais colore les urines en jaune citron. Très bonne pour les végétariens, les sportifs, les alcooliques, les personnes âgées, les malades nourris par perfusions, les femmes enceintes ou allaitantes.

B3 (niacine) : Aide à régulariser le métabolisme. La vitamine B3 permet de fabriquer graisses, cholestérol, hormones. Elle fait baisser le cholestérol et la mortalité coronarienne. Elle s'est même révélée, dans la grande étude du Coronary Drug Project, la plus efficace des substances testées. Très bonne pour les végétariens, les alcooliques, les sportifs, les personnes fatiguées manquant d'appétit, les personnes souffrant d'arthrose, d'artérite ou de cholestérol.

B6 (pyridoxine) : Action commune avec la vitamine B6 pour la formation du sang. La vitamine B6 est impliquée dans un grand nombre de réactions enzymatiques, d'où son rôle dans l'immunité et surtout dans la prévention des maladies cardiovasculaires dont elle peut vous protéger : elle peut sauver votre coeur ! La vitamine B6 sert à fabriquer des protéines, des hormones, des neurotransmetteurs. Elle joue aussi un rôle dans la prévention des maladies cardiovasculaires, de l'asthme, des dysfonctionnements du système immunitaire, de certaines dépressions. Plus de 80% des Français adultes ne consomment pas suffisamment de vitamine B6. Il n'y a aucun risque à consommer de la vitamine B6. Très bonne pour les nausées de la grossesse, le syndrome prémenstruel (soulage au moins un cas sur deux), le diabète, l'asthme, les déficiences du système immunitaire, certaines maladies héréditaires complexes, certains cancers, les calculs rénaux, les femmes allaitantes, les alcooliques, les anxieux et stressés.

B9 (acide folique) : Antianémique, favorise la régénération des globules rouges. Grâce à des apports supplémentaires de cette vitamine, on évite le nombre de certaines malformations graves de la moelle épinière et du cerveau. En 1995, de nouvelles études confirment le rôle crucial joué par la vitamine B9 dans le développement de l'embryon. L'acide folique joue aussi un rôle très important dans la prévention des maladies cardiovasculaires et des troubles neuropsychiatriques bénins (perte de mémoire) ou plus graves (dépression, maladies d'Alzheimer et e Parkinson). L'acide folique n'est pas toxique aux doses habituelles, et n'est pas toxique à des doses représentant 100 fois l'apport conseillé. Très bon pour les femmes enceintes ou allaitantes, pour les enfants ou adolescents en plein croissance, les fumeurs ou les alcooliques, les dépressifs, les personnes souffrant de troubles de l'absorption au niveau de l'estomac ou de l'intestin, celles souffrant d'inflammation des gencives.

B12 (cobalamine) : Indispensable au métabolisme. Facteur énergétique pour les fonctions nutritives du corps et favorise la formation des globules rouges. La vitamine B12 intervient dans la formation des globules rouges, le bon fonctionnement du système nerveux et la prévention des infarctus. Elle est surtout connue pour son action contre l'anémie pernicieuse de Biermer. La vitamine B12 est dépourvue de toxicité par voie orale même à des doses mille fois supérieures à celles conseillées. Très présente dans la viande et les produits laitiers, il est extrêmement rare de la trouver dans des végétaux ; c'est pour cette raison que cette vitamine est très bonne pour les enfants prématurés, les personnes de plus de 50 ans, les végétariens et végétaliens, les alcooliques, les porteurs du virus HIV (le taux de B12 prédit l'évolutivité de la maladie), les femmes enceintes ou allaitantes.

C (acide ascorbique) : En association avec la vitamine E combat l'infection, favorise la cicatrisation et maintient la santé de la peau. La vitamine C est d'abord le principal antioxydant de l'organisme : elle protège nos tissus des dégâts occasionnés par les radicaux libres. Elle renforce les tissus et les os en stimulant la synthèse de collagène. Elle soutient l'activité du cerveau en l'aidant à fabriquer plusieurs messagers chimiques. Elle favorise l'absorption du fer mais aide à se débarrasser des métaux toxiques comme le plomb. Elle combat virus et bactéries. La prise quotidienne de vitamine C divise par 2 les risques de cancers, par quatre le risque de cataracte, elle protège contre les différentes pollutions respiratoires liées à l'environnement, dont la fumée de cigarettes. Les suppléments de vitamine C diminuent la sévérité et le nombre des crises d'asthme, ils améliorent les délais de cicatrisation, diminuent les risques d'infection et de phlébites. L'acide ascorbique aide nos globules bllancs à éliminer les microbes. Il agit sur les virus comme ceux de l'herpès, du zona ou de l'hépatite. La vitamine C est parfaitement atoxique, même à forte dose. Très bon pour tout le monde.

E (tocophérols et tocotriénols) : Voir vitamine C. La vitamine E se trouve dans l’avocat, les graines germées, la levure. Elle protège la membrane des cellules. La vitamine E est coonnue pour la prévention des maladies cardiovasculaires et du cancer. Car la vitamine E est un antioxydant : elle agit main dans la main avec la vitamine C contre les radicaux libres. Son rôle : protéger de l'oxydation les corps gras de l'orgnisme (membranes cellulaires, cholestérol). La vitamine E est atoxique. Très bonne pour les fumeurs, les alcooliques, les diabétiques, les cardiaques, les personnes qui ont un risque de thrombose.

Choline (ancienne vitamine B7) : Vasodilatateur coronarien, elle favorise le métabolisme.

(A noter que l'Aloe vera stabilisé contient des vitamines A, C et E ajoutées au cours du processus de stabilisation).

o Des ENZYMES (ou diastases) : amylase, catalase, cellulase, lipase, oxydase et phosphatases, qui ont des

rôles spécifiques de catalyseurs dans de nombreuses réactions chimiques organiques essentielles. Les aliments riches en enzymes sont : banane mûre (mais pas trop mûre), avocat, raisin, mangue, datte, figue, miel, olives, céréales et graines germées, oléagineux, lait et beurre cru, aliments lacto-fermentés.

ATTENTION : l’alimentation minute rend les enzymes inactifs : micro-ondes, irradiations, et tout ce qui vient des grandes surfaces…

Les enzymes nutritives sont à trouver dans l'alimentation, les enzymes métaboliques, que nous fabriquons, font leur travail ; en cas de carence en enzymes nutitives, l'organisme s'épuise à créer des enzymes digestives au détriment des enzymes métaboliques et le système immunitaire devient moins puissant. Plus on dépense les enzymes métaboliques, plus on se sent fatigué. Pour résumer la situation, les enzymes présentent dans l'aloès facilitent la digestion et favorisent l’assimilation des autres aliments de la ration habituelle, avec pour conséquence un bien meilleur apport de nutriments pour l’organisme ; enzymes = clés de l’aloès et Clés de la Vie ou Etincelles de Vie.

Enfin, les enzymes de l'aloès relancent les fonctions endormies ou qui ne se faisaient plus ; certaines personnes, par exemple, perdent du poids en consommant quotidiennement de l'aloès, sans changer d'alimentation.

Amylase Catalyse l'hyrolyse de l'amidon en dextrine puis en maltose.

Bradykinase Analgésique, anti-inflammatoire, stimulant des défenses immunitaires.

Catalase Empêche toute accumulation d'eau oxygénée dans les tissus.

Cellulase Facilite la digestion de la cellulose.

Créatine phosphorique Enzyme musculaire.

Lipase Facilite la digestion.

Nucléotidase Catalyse l'hydrolyse des nucléotides en nucléosides.

Phosphatase acide Marqueur du cancer de la prostate.

Phosphatase alcaline Régulateur des fonctions hépatiques.

Protéolytiase Hydrolyse les protéines en leurs éléments constitutifs.

L'aloès contient également de l'acide salicylique, de l'acide chrysophanique, des huiles volatiles.

Les enzymes de l’aloès sont des enzymes rares. Les enzymes permettent :

. une plus grande résistance aux pathologies et au stress

. la prévention des maladies dégénératives

. la prévention du vieillissement cellulaire et organique

. favorise le processus de la digestion

L’aloès contient 4 groupes d’enzymes importants :

. enzymes anti-inflammatoires, qui calment la douleur, dont le bradychinase, enzyme anti-douleur, calmante, cicatrisante et ayant un pouvoir anti-viral

. enzymes pour la régénération cellulaire et pour celle des tissus

. enzymes anti-viraux (contre 4 virus de l’herpès)

. enzymes préparant la digestion : lipase, protéase, … régulant les fonctions hépatiques.

o D'autres constituants non négligeables : aloésine, aloénine, acide cinnamique, acide chrysophanique, résistanol (dérivé alcoolique de l'acide cinnamique), lignine, saponines, choline (dont l'action participe à la régulation du taux de cholestérol dans le sang, au bon fonctionnement du foie et aux processus de mémorisation), huiles volatiles, etc.

En plus, dans l'Aloe Vera on retrouve des complèxes anthraquinoniques (aloe-hémodim, acide aloétique, aloïne, anthracine, anthranole, barbaloïne, acide chrysophanique, huile éthéré, ester d'acide cinnamique, isobarbaloïne et résistanole) qui ont une action analgésique et anti-inflammatoire pour les douleurs de la colonne vertébrale et pour les douleurs en général. Enfin, l'Aloès contient des stéroïdes (elle fournit 4 principaux stéroïdes des plantes: cholestérol, campestérol, lupéol et bêta-systostérol, qui sont des agents anti-inflammatoires; le lupéol possède en outre des propriétés antiseptiques et analgésiques), des sucres (mono- et polysaccharides) qui ont une action anti-inflammatoire, l'acemannane qui renforce le système immunitaire contre les virus, les bactéries et la pollution de l'environnement, les saponines qui ont une action antiseptique et purifiante, des hormones (auxine et gibbérelline) qui ont une action cicatrisante et anti-inflammatoire, des principes actifs phytothérapiques, tels que la lignine, qui facilitent le gel à pénétrer, hydrater et nourrir la peau en profondeur.

L’aloès est un transporteur, un vecteur, sans doute parce qu’il contient du silicium.

Test : si on met de l’encre de Chine sur les deux mains et de l’aloès sur une des deux mains, on se rend compte qu’avec l’aloès, l’encre de chine pénètre 4 à 5 fois plus vite et sept fois plus profond ; elle atteint le derme et peut relancer le bourgeon cellulaire. L’aloès, en tant que vecteur, permet la régénération des tissus lésés, escarres, brûlures, etc… 5 à 8 fois plus vite que les capacités humaines ou animales.

L’aloès contient du silicium et du germanium, ce qui permet de l’utiliser dans le traitement des cancers. Les bioflavonoïdes ont également un effet anti-cancérigène. L’aloès contient également des anthraquinones, antibiotiques naturels, des analgésiques et du tanin. L’aloès augmente les défenses immunitaires non-spécifiques.

L' ACEMANNAN :

Selon le docteur Bruce Hedendal, du Centre de Chiropraxie et de Nutrition Hedendal, spécialiste américain de premier plan, la clé du pouvoir de l'Aloe Vera réside en ce que la plante est une source très riche en mucopolysaccharides (sucres à longue chaine MPS), aussi vitaux pour l'organisme que des briques pour une maison. On les trouve normalement dans toutes les cellules du corps humain car nous les avons fabriqués au cours des dix premières années de notre vie. Par la suite, nous devons nous connecter à des sources extérieures, et à cet égard, aucune plante n'est aussi riche que l'Aloe Vera Barbadensis Miller.

Les études récentes ont démontré la présence de l'acemannane dans l'Aloe Vera qui en est particulièrement riche. Ce mucopolysaccharide a été isolé par une entreprise américaine, les Laboratoires Carrington. Il s'agit d'une macromolécule polymère, soluble dans l'eau, qui augmente la production dans l'organisme des macrophages, éléments importants dans la lutte contre les formations tumorales. En effet cette substance a une action purifiante et immunostimulante, en fortifiant au maximum les défences du système immunitaire de notre organisme. Bref, plutôt qu'en le surmenant, l'acemannan opère en interaction avec le système immunitaire. Cette substance possède en plus des propriétés germicides, bactéricides et anti-fongiques. Dans le passé la consommation du gel d'Aloès était beaucoup plus difficile et limitée, parce que son oxydation, et donc la perte de ses propriétés médicinales, advient assez rapidement. Aujourd'hui on peut le “stabiliser” par une méthode naturelle de stabilisation à froid qui permet de conserver au maximum ses valeurs nutritives et ses principes actifs. Dans cette méthode on utilise des conservateurs naturels et antioxygènes qui en conserve aussi la couleur et la saveur. Grâce à ces nombreuses propriétés l'Aloès est capable d'avoir des importantes actions purifiantes, vivifiantes et tonifiantes sur l'organisme humain.

Lors de la 3ème conférence internationale sur les recherches antivirales, à Bruxelles, un rapport fut présenté, indiquant qu'on avait découvert que l'acemannan agissait sur les sarcomes des souris comme inhibiteur de croissance. Il avait été également testé sur des chats souffrant de leucémie féline : 80% des animaux ainsi traités avaient guéri, soit une complète inversion des statistiques antérieures.

Ces recherches se traduisirent en 1991 par l'approbation par le Ministère de l'Agriculture des Etats-Unis, de l'usage de l'acemannan dans le traitement des fibro-sarcomes chez les chiens et les chats. Il n'existait auparavant aucun traitement efficace de ce cancer. Soumis à l'acemannan, les tissus cancéreux sont en quelque sorte enrobés, la tumeur est tuée, et son ablation par voie chirurgicale est largement facilitée. Ce mécanisme unique en son genre, associé à une action anti-virale directe, peut fournir une explication des potentialités de l'Aloe Vera quand il s'agit de soigner un éventail très large d'affections et de maladies chez les hommes et les animaux. Qu'on le croit ou non, les bienfaits de l'Aloe Vera, tels qu'ils sont décrits dans ce blog, ont été testés, démontrés et certifiés, dans le monde entier, par des praticiens des thérapies alternatives et conventionnelles, et par des profanes.

Comme pour de nombreuses autres plantes médicinales, la feuille de l'Aloe vera comporte une multitude de principes actifs et de composants (plus de 150) associés de façon très complexe, dont la reconstitution est absolument impossible à réaliser en laboratoire. Cette richesse de composition est certainement à l'origine des multiples vertus ancestrales de l'Aloe vera, sans que l'on puisse toujours attribuer telle ou telle action à tel ou tel composant (en dehors de la barbaloïne et autres dérivés anthracéniques de la sève dont on sait qu'ils sont à l'origine des propriétés digestives). Il est d'ailleurs vraisemblable que beaucoup de ses propriétés sont le fait d'une action synergique de plusieurs d'entre eux - peut-être même, pour certaines, de la totalité - selon un dosage privilégié parfaitement équilibré. Les études qui se poursuivent toujours intensément dans ce domaine permettront sans doute de répondre plus précisément, un jour prochain, à toutes ces questions en suspens. Toutefois, dans l'attente d'avoir la satisfaction intellectuelle de pouvoir apporter de telles réponses, et compte-tenu de sa non-toxicité, rien n'empêche de profiter dès maintenant des salutaires propriétés de cette “plante médecin”.

Cette plante a tellement de propriétés qu'elle peut se les appliquer en premier à elle-même. Si l’on incise ou entaille une feuille d’aloe vera , on peut observer avec quelle rapidité la plante “se guérit elle-même”. A l’endroit de la coupure apparait d’abord un suintement , qui se stabilise en quelques secondes ,et quelques minutes plus tard , une nouvelle peau s’est formée , au point qu’il devient pratiquement impossible de retrouver l’endroit de la „blessure“. Cette régénération est le fait des substances cicatrisantes de la plante . Il est aussi étonnant de constater qu’un aloès déterré survivra des mois et résistera aux plus fortes chaleurs .

L’aloès : un adaptogène. Concept soviétique pour définir l’action régulatrice de l’aloès sur l’organisme en s’adaptant à chaque personne qui le boit et en aidant chaque buveur d’aloès à s’adapter au stress et aux situations difficiles. « Une plante adaptogène ne travaille pas directement sur une partie du corps. En régularisant le fonctionnement général et en renforçant le système immunitaire, elle soigne du même coup les parties malades. Les adaptogènes n’agissent que lorsque le besoin s’en fait sentir et là où leur action est requise. Sinon, en apparence, ils restent inactifs et renforcent lentement mais sûrement le système immunitaire. » (Par opposition aux médicaments chimiques, envahissant l’organisme tel un conquistador ; ils fonctionnent toujours dans la même direction, souvent agressivement et sans nuance). L’aloès a une action plus globale, plus subtile, plus lente, parfois imperceptible… d’où son nom de « Guérisseur Silencieux » en Inde.

Avec les années d’observation et l’expérience, nous pouvons ajouter que dans les trois mois de cure, si elle est faite avec régularité, il y a des résultats. Chaque mois de cure ayant un effet spécifique :

1. au cours du premier mois de cure, l’aloès opère un nettoyage de l’appareil intestinal dans son ensemble (foie, rate, pancréas, estomac, intestins), en régule le transit et nettoie les villosités du côlon, ce qui permet à la flore intestinale de se reproduire ; l’aloès élimine aussi les toxines. 2. au cour du deuxième mois, après l’amélioration des fonctions digestives, l’aloès remet en route toutes les autres fonctions de l’organisme (ce qui joue par exemple sur le sommeil, la nervosité, la concentration, le poids, etc…) 3.

au cours du troisième mois de cure, l’aloès participe à la régénération cellulaire. On changerait environ 2,5 millions de cellules par jour, et l’aloès améliore la qualité de la régénération cellulaire.

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